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24h dans la vie d'une femme.
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« Mais au fait, ça veut dire quoi, être une femme ? » À cette question super simple, il existe une myriade de réponses ! « Meuf » les décrypte avec humour en explorant les thématiques liées au corps, à l'orientation sexuelle, au (cyber)harcèlement ou encore au sexisme de la société. Dans cette enquête aux allures de quête fantastique, les jeunes aventurières apprennent à mener à bien leur vie de meuf vers le Graal ultime ; une vie pour soi et bien dans sa peau !
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Dans un récit profondément intime et émouvant, Alix Garin nous raconte son voyage libérateur à travers les méandres des troubles de la sexualité. Comment le combat pour reprendre possession de son corps, de son désir et sauver son couple se transforme en une quête émouvante de guérison, d'émancipation et d'amour.
À travers des hauts et des bas, des échecs et des victoires, elle explore les profondeurs de sa psyché, les liens entre le physique et le mental et la complexité de la sexualité. Avec courage et honnêteté, Alix livre un témoignage sincère, beau et bouleversant sur les difficultés liées à la sexualité, encore trop méconnues et souvent taboues. -
Vivre la quarantaine pour Aude Picault, c'est se rebeller contre l'inexorable routine quotidienne, l'usure du couple, les inévitables contraintes familiales et donc professionnelles, sans compter l'éco-politico-anxiété galopante... Mais la quarantaine, c'est aussi cet âge où l'on apprend à s'accepter tel que l'on est et à trouver son chemin !
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« Après Il fallait que je vous le dise, Aude Mermilliod continue dans Éclore, d'explorer son intimité sexuelle, sentimentale et psychologique. Elle se livre avec une sincérité et une liberté confondante à une analyse de ses expériences passées, qui l'ont parfois construite, parfois morcelée, mais dont elle a toujours appris et tiré des leçons.
Parcours résilient d'une femme en territoire intime, Eclore est un témoignage indispensable, un album tout en harmonie, d'une grande sensualité, durant lequel Aude Mermilliod va germer, s'éveiller et s'épanouir, entraînant les lectrices et lecteurs dans sa quête d'équilibre. » -
Caroline mène une existence moyenne, dans un corps qu'elle juge moyen. Alors que la cinquantaine arrive, et avec elle les affres de la périménopause, elle se fait licencier d'un travail qui était, sans surprise, moyen. C'est décidé, puisque plus personne ne la remarque ni ne la considère, Caroline entreprend de mettre à profit son super pouvoir d'invisibilité pour devenir détective privée. Ce changement de cap va la conduire jusqu'à New York et à la rencontre d'elle-même, et lui permettre de renouer avec sa véritable identité, celle de Marcie Bangor !
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Juliette : les fantômes reviennent au printemps
Camille Jourdy
- ACTES SUD
- Bandes Dessinees
- 5 Juin 2024
- 9782330190859
Juliette, jeune femme en proie à des crises d'angoisse qui la minent, laisse un temps sa vie parisienne de côté pour aller se ressourcer en province, dans la petite ville de son enfance. Elle y retrouve un père à la mémoire vacillante, une mère exubérante et fantasque, et sa soeur, mère de famille exemplaire qui cache pourtant un amant dans le placard.
Juliette a dans sa valise un noeud à défaire. Des noeuds, il y en a tout autant dans la vie de Polux, gentil pilier de bar désoeuvré et solitaire. Le hasard fera croiser leurs chemins... -
La montagne entre nous
Jeanne Sterkers, Marcel Shorjian
- Sarbacane
- Romans Graphiques
- 2 Janvier 2025
- 9791040804642
De leur village d'enfance niché dans la montagne, Marcia s'est échappée pour la grande ville. Pour une autre vie. Florence, elle, est restée, s'est mariée et a repris la boucherie familiale comme son père l'avait toujours espéré. Pourtant, à l'adolescence, lors leurs escapades secrètes dans la forêt loin des regards inquisiteurs des villageois, c'était Florence qui brillait par son désir d'évasion. Pourquoi Marcia a laissé Florence derrière elle ? Pourquoi Florence ne l'a pas suivie ? Quand Marcia rentre dans son village natal après trente ans d'absence et de silence, les retrouvailles entre les deux femmes sont assombries par les non-dits et les regrets. Entre rapprochements timides et tension latente, les vraies raisons de leur séparation refont surface...
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Jean, major de promo et interne à l'hôpital, doit faire un stage en soins gynécologiques aux côtés du docteur Karma. Mais elle veut faire de la chirurgie, et non écouter des femmes parler d'elles-mêmes et de leur corps ! Elle se désespère de passer son temps auprès de ce médecin qui privilégie l'écoute à la technique. Contraception, maternité, violences conjugales, avortements... de consultations en témoignages, Jean pourrait bien pourtant changer sa vision de la médecine.
Une adaptation sensible et puissante du roman culte de Martin Winckler.
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Quatre meufs autour de la quarantaine réunies autour d'un projet collectif : ouvrir un bar associatif où l'on pourrait lire, faire du yoga, passer du bon temps. Son nom : Pisse-mémé. Une comédie feel good qui évoque les oeuvres de Posy Simmonds et mêle astucieusement quatre parcours de vie, qui prenne le chemin d'une sororité heureuse !
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Amour magique, amour toxique.Jeune fille issue de la noblesse, Cléa est promise à un bel avenir aux côtés du fils du comte de l'Eau, Berthier. Mais alors qu'elle s'apprête à l'épouser, elle fait une rencontre des plus inattendues : celle de Pierrot, un magicien des rues ! Ce saltimbanque va faire chavirer son coeur. Charmant, galant, et un brin intrigant, il lui offre le vent de liberté qui manque à sa vie. En le suivant dans son antre caché au coeur de la forêt, c'est tout un monde merveilleux qui s'ouvre devant elle ! Mais les vertiges de l'amour seront de courte durée et déjà les premières larmes coulent sur les joues de Cléa. Bientôt la passion cédera la place à la confusion. Mais qui est vraiment Pierrot ? Pendant ce temps, Berthier désemparé, se lance à la recherche de sa fiancée sans se douter un instant que cette quête pourrait le mener au seuil de la folie.
Après le très émouvant Lettres perdues en 2021, Jim Bishop nous offre un roman graphique bouleversant d'une grande maturité. Véritable conte philosophique, avec un univers onirique et magique qui s'inspire autant de l'animation japonaise que du manga L'Atelier des Sorciers, Mon ami Pierrot raconte les dangers de la passion et la fin de l'innocence. Une oeuvre subtile qui nous hante longtemps après la dernière page ! -
Sans contrefaçon, je suis un garçon !Dans l'Italie de la Renaissance, Bianca, demoiselle de bonne famille, est en âge de se marier. Ses parents lui trouvent un fiancé à leur goût : Giovanni, un riche marchand, jeune et plaisant. Le mariage semble devoir se dérouler sous les meilleurs auspices même si Bianca ne peut cacher sa déception de devoir épouser un homme dont elle ignore tout. Mais c'était sans connaître le secret détenu et légué par les femmes de sa famille depuis des générations : une « peau d'homme » ! En la revêtant, Bianca devient Lorenzo et bénéficie de tous les attributs d'un jeune homme à la beauté stupéfiante. Elle peut désormais visiter incognito le monde des hommes et apprendre à connaître son fiancé dans son milieu naturel. Mais dans sa peau d'homme, Bianca s'affranchit des limites imposées aux femmes et découvre l'amour et la sexualité.La morale de la Renaissance agit alors en miroir de celle de notre siècle et pose plusieurs questions : pourquoi les femmes devraient-elles avoir une sexualité différente de celle des hommes ? Pourquoi leur plaisir et leur liberté devraient-ils faire l'objet de mépris et de coercition ? Comment enfin la morale peut-elle être l'instrument d'une domination à la fois sévère et inconsciente ?À travers une fable enlevée et subtile comme une comédie de Billy Wilder, Hubert et Zanzim questionnent avec brio notre rapport au genre et à la sexualité... mais pas que. En mêlant ainsi la religion et le sexe, la morale et l'humour, la noblesse et le franc-parler, Peau d'homme nous invite tant à la libération des moeurs qu'à la quête folle et ardente de l'amour.
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Claire, trentenaire, infirmière en néonatalogie, voit défiler ses relations amoureuses et désespère de construire un couple - le vrai, le bon, l'idéal. En choisissant de vivre avec Franck, elle croit enfin y être arrivée. Mais la réalité standardisée de ce qui l'attend n'est pas à la hauteur...
Aude Picault aborde avec grâce et humour des thèmes essentiels aux femmes d'aujourd'hui : le couple, le désir, la recherche de soi, la jouissance, etc. Remarquable !
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Ellen naît en 1941 dans une famille juive de Baltimore et, petite déjà, rêve de devenir chanteuse. Sa voix est incroyable, mais sa personnalité aussi excentrique qu'attachante cache une faille de taille : Ellen est boulimique. Et grosse. Trop grosse pour espérer un jour devenir une star. Pourtant, quand à 19 ans elle devient Cass Eliot, c'est pour échapper à son avenir de vendeuse de pastrami et tenter sa chance à New York ! C'est là que, happée par la folk de l'époque, Cass tombe amoureuse de Denny, le chanteur des Journeymen...
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nouvelle édition reliée
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Peut-on vivre à deux quand on ne sait pas vivre avec soi ?
Ulysse et Aimée, un couple dans la trentaine, voyagent vers le sud de l'Espagne dans leur van aménagé, pour faire de la plongée au Cabo de Gata. Plan idéal pour l'été ? Pas vraiment... car le couple traverse une mauvaise passe. Après une année difficile, Ulysse a besoin de vivre de nouvelles aventures, mais aussi de se redécouvrir lui-même, notamment à travers la plongée qu'il voit comme une thérapie. De son côté, Aimée, qui a travaillé d'arrache-pied sur sa thèse toute l'année, culpabilise de ne pas avoir été assez présente pour son compagnon. Elle accepte alors ce voyage en van, taisant ses phobies et appréhensions. Mais plus le couple se rapproche de Cabo de Gata, plus les tensions et les angoisses l'emportent.
Un road-movie intimiste qui parle de la peur de sortir de sa zone de confort et de l'inertie d'une longue relation de couple qui ne sait plus où elle va... -
Après le remarquable et remarqué C'est comme ça que je disparais, Mirion Malle revient avec Adieu triste amour. Dans cette tranche de vie douce-amère et très « nouvelle vague », nous suivons le parcours de Cléo, jeune autrice de BD qui quitte tout du jour au lendemain : une ville (Montréal), un amour dont elle doute et une vie à laquelle elle se sent étrangère. De l'hiver au printemps, du festival d'Angoulême à la Gaspésie, en passant par Montréal, nous la suivons et nous assistons à la naissance d'une nouvelle Cléo, libre de créer, de vivre, d'aimer et d'être tout simplement elle-même.
Comme toujours, Mirion Malle nous entraîne au plus près de son héroïne et de ses émotions au fil de pages superbes réhaussées d'une mise en couleurs remarquable.
Les thèmes de prédilection de Mirion Malle sont là (la sororité, le soutien, l'écoute), et sont traités avec finesse et sensibilité. Tout cela fait de Adieu triste amour un roman graphique aussi fort que joyeux et une superbe histoire d'émancipation, que viennent éclairer les prémisses et la promesse d'un nouvel amour.
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Avant même de voir Clémence, on l'entend crier : elle est en train de faire fuir un « vieux mec » qui draguait des adolescentes tranquillement attablées à une terrasse. Elle apparaît immédiatement comme une héroïne flamboyante avec ses cheveux roux et son t-shirt rouge sang. Mais elle confie à une amie que sa colère la « dévore ». Elle ne sait même plus si elle existe en dehors de cette émotion débordante.
Toutefois, le récit que tisse pour nous Mirion Malle dépasse la question de la colère, de la rage qui nous habite. Ses talents de narratrice lui permettent d'explorer ce personnage dans toute sa complexité. Plus qu'un récit sur la colère, l'histoire de Clémence est une longue réflexion sur la manière dont on peut essayer d'habiter un monde patriarcal injuste et violent, dont on peut réconcilier les joies individuelles et les grandes rages collectives.
Au fil du récit, on suit Clémence au sein d'un groupe de parole pour victimes d'agressions sexuelles, dans ses premiers dates avec Imane, jeune danseuse qui va lui montrer comment se réapproprier son corps à travers la danse, et dans ses longues discussions captivantes et fertiles avec ses amies. Avec les femmes qui l'entourent, Clémence réfléchit à ce que l'on peut faire de nos colères. Les abandonner ? Rester passives, comme les hommes nous ont si souvent forcées à le faire ? Brûler de nos rages, quitte à se consumer ? De ces échanges émergent des réflexions d'une grande justesse sur la force du collectif - le grand sujet de l'oeuvre de Mirion Malle - et sur toutes les manières de survivre aux violences systémiques. Il y a ici une grande harmonie entre la force des idées scénaristiques (les effets d'échelle, le découpage des cases, les silences puissants...) et le trait de la dessinatrice qui se fait plus fort, plus assuré, plus puissant. Les émotions et les dialogues sont plus que jamais portés par ses couleurs et par ses jeux d'ombre et de lumière.
Clémence en colère vient clore une trilogie commencée avec C'est comme ça que je disparais et Adieu triste amour. Un passage émouvant, tant Mirion Malle a su accompagner les mouvements de notre génération : la découverte de la tristesse, de la violence, la douceur des amitiés et enfin la réparation, la guérison, celle que la fiction a le pouvoir de nous montrer. Nous voilà prêtes à vivre avec notre colère, sainement, et à entretenir ce petit feu en nous que la société a si souvent cherché à éteindre. -
On n'est jamais content de ses cheveux : Rose, qui a les cheveux crépus, rêve de les avoir lisses. Pour se conformer aux normes sociales, elle sera prête à tout, quitte à gommer son identité métissée.
Entre enquête de société et récit de vie, une BD riche et touchante qui parle de sexisme, de racisme, d'héritage et d'acceptation de soi. -
Partie en croisière avec Alain, son mari de longue date, Annie se réveille sur une île déserte après un violent naufrage. Malgré ses peurs, elle survit comme elle peut, seule dans la nature. Face à elle-même, elle commence à questionner le rôle qu'elle s'est assigné dans sa propre vie, et celui qu'elle a laissé son mari jouer. Qui est-elle vraiment, de quoi a-t-elle vraiment envie ? La rencontre inattendue avec un indigène, loin des conventions sociales, va accentuer sa découverte d'elle-même et lui permettre de réinventer son désir.