L'ouvrage se basera sur une série d'entretiens avec le journaliste Michka Assayas, producteur de l'émission hebdomadaire Very Good Trip sur France Inter. Dans ce livre où il évoque plus de 300 chansons, il raconte l'histoire d'une initiation. On y retrouve le ton de son émission « Very good Trip » : Souvenirs et anecdotes viennent éclairer l'aventure du rock au sens large, de Bob Dylan à Eminem, en passant par Kurt Cobain. Michka Assayas nous fait aussi partager ses archives personnelles. Mémorial sensible d'une existence passée à accumuler les trésors et les connaissances qu'il a eu la passion de transmettre ...
Avec lui, Maud Berthomier renoue avec les techniques qui lui sont chères - l'entretien - pour écrire un voyage en musique où mémoire individuelle et collective s'entremêlent.
Paru en 1955, Le livre du jazz de Langston Hughes propose au lecteur un merveilleux voyage dans le temps qui l'invite à parcourir les différents lieux et moments clés de l'histoire du jazz, depuis ses racines anciennes en Afrique jusqu'à son succès à Broadway et sa reconnaissance internationale en tant que musique à part entière. C'est aussi une plongée profonde à la découverte de la nature enjouée et unique de ses rythmes syncopés et de ses mélodies improvisées, joués avec des instruments nouveaux et anciens, qui rend hommage à la virtuosité des plus grands compositeurs et interprètes de jazz, de Jelly Roll Morton à Dizzy Gillespie. En suivant le tempo de la vie du trompettiste Louis Armstrong, Hughes chante en mots tout ce qui fait jazz : du souvenir des danses et des tambours des esclaves africains de Congo Square de La Nouvelle-Orléans raconté par la grand-mère du petit Louis, à l'inventivité et à l'audace des musiciens révolutionnant le plaisir du jeu en commun de la musique - des débuts faits d'instruments de fortune au coeur du Deep South américain aux orchestres prestigieux de Carnegie Hall en passant par les jam sessions entre musiciens noirs et blancs dans les clubs des grandes villes de l'Est comme Chicago ou New York. Les illustrations qui ponctuent le texte jouent elles aussi avec le noir et le blanc, et suivent à travers le trait délicieusement « fifties » du dessinateur américain Cliff Roberts la percussion dansante de la musique que l'on devine tout au long de sa lecture. La grande qualité de conteur de Langston Hughes rend vivants les lieux et les personnages de cette histoire et les mots de son récit rappellent au lecteur, qu'il soit petit ou grand, que le jazz est au coeur de l'histoire des États-Unis, et que cette musique est une contribution merveilleuse du peuple africain-américain au monde entier.
Savez-vous quel est le lien entre la mort de Robespierre le 28 juillet 1794 et le jazz ? Le jazz est-il vraiment né à Storyville ? Quelle est l'origine du mot « jazz » ?
Après le succès de son premier opus, Sur les routes de la musique, André Manoukian revient avec 40 nouvelles chroniques qui retracent l'histoire du jazz. Un art qui prend racine en Afrique, mère de toutes les musiques, et grandit aux Amériques avec les esclaves qui donnent naissance au jazz afro-cubain, au gospel, au reggae candomblé. Ce genre musical retourne au berceau africain avec les musiques éthiopiques, l'afro beat, la rumba congolaise, mais aussi - et de manière beaucoup plus contemporaine - via maître Gims et Aya Nakamura...
Du quadrille au cake-walk, de Bussy à Miles Davis, de Paris à La Nouvelle-Orléans, André Manoukian nous initie à cet art et nous dévoile par touches les petites histoires qui ont fait la grande musique.
Trop sage, Philippe Manoeuvre ? Ramolli du perfecto, le rédac-chef mythique de Rock & Folk et de Métal Hurlant ? C'est ce qu'en substance un lecteur de ses précédents Mémoires lui a glissé un jour - on a connu des acides plus faciles à avaler...
Qu'à cela ne tienne. Cette fois, Manoeuvre dit tout.
L'alcool. La drogue. La corde raide du rock n'roll.
Du premier rail au dernier verre : cuites again à Moscou la rouge, trip champi à Amsterdam avec Virginie D., des tournées, et encore des tournées, entre mille virées gonzo sous LSD... Passent Bowie, Lemmy, Iggy, Lou Reed - tous les fantômes hallucinés...
Bref, depuis 20 ans Philippe est clean, mais qu'on se rassure : punk is not dead.
Il y a 50 ans, Aretha Franklin réclamait le "respect", dans les années 1990, les Riot Grrrls émergent et aujourd'hui, des superstars comme Beyoncé commercialisent une version sexy du féminisme. Les charts regorgent de voix féminines, mais les scènes de festival, les magazines musicaux et les nightclubs restent dominés par les hommes. Pourtant, il y a des rebelles présentes à chaque coin de rue, dans chaque décennie où les femmes ont pris la guitare, le micro ou les platines de DJ.
Chacune a sa propre histoire. Il est question d'émancipation, de colère, de drogue et de rock n'roll, de sexe et de sexualité. Mais avant tout, de musique. Qu'il s'agisse de voix dans la soul, de battles dans le rap, de solos de guitare dans le rock, de grands tubes dans la pop ou dans la techno.
Toutes ne sont pas des rockeuses au sens propre du terme, mais si l'on estime que le rock définit une rupture, alors oui, toutes ces femmes sont de sacrées rockeuses.
À travers plus de 100 textes instructifs, divertissants et personnels, des journalistes, des musiciens ou des fans parlent des groupes qui les ont marqués, des artistes féminines qui ont donné une nouvelle facette au féminisme, de leurs disques préférés, des oeuvres de leur vie et des chansons qu'ils reprennent en choeur, du classique à l'outsider.
Dans l'histoire du jazz, il a une place unique. C'est un génie, et un musicien inclassable qui dépasse le genre où il s'est illustré. C'est aussi un personnage énigmatique dont on n'a jamais fini de faire le tour...
Il y a quarante ans, le 17 février 1982, disparaissait l'une des figures essentielles du jazz : Thelonious Sphere Monk. Poète de l'essentiel, il a écrit quelques unes de plus belles pages du jazz moderne avec Charlie Parker, Miles Davis, Sonny Rollins et John Coltrane. Le pianiste est singulier, le compositeur, auteur du célèbre standard « Around Midnight », est l'un des plus prolifiques de l'histoire du jazz. L'homme est fantasque, mutique, mystérieux.
Dans Mystère Monk, Franck Médioni a rassemblé plus de cent-vingt contributions de par le monde. Ils sont musiciens (Sonny Rollins, Herbie Hancock, Chick Corea, Martial Solal, Archie Shepp, Bill Frisell, Joe Lovano, John McLaughlin, Laurent de Wilde, Yaron Herman, Henri Texier, Bernard Lubat, Jean-Claude Vannier, Alain Planès, Pascal Dusapin...), journalistes (Michel Contat, François-René Simon, Guy Darol, Edouard Launet...), musicologues (Leila Olivesi, Lewis Porter, Philippe Baudoin), écrivains (Jacques Réda, Yannick Haenel, Philippe Sollers, Jean Echenoz, Yves Buin, Zéno Bianu, Allen Ginsberg, Christian Bobin, Sylvie Kandé, Jack Kerouac, Thomas Vinau, Esther Tellermann, John Edgar Wideman, Julio Cortázar, Roberto Bolano, Nimrod, Eric Sarner, Marcuse Malte, Pacôme Thiellement...), photographes (Jean-Pierre Leloir, Guy Le Querrec, Bob Parent, Roberto Polillo, Marcel Fleiss, Christian Rose...), dessinateurs (Enki Bilal, José Muñoz, Cabu, Serguei, Willem, Blutch, Youssef Daoudi, Edmond Baudoin, Louis Joos, Jacques Loustal, Jacques Ferrandez, Serge Bloch, Jochen Gerner, Charles Berberian, Christophe Chapouté, Albin de la Simone...), peintres (Victor Brauner, Willem de Kooning, Miquel Barceló, Ben Vautier, Ernest Pignon-Ernest, Charlélie Couture...) ou réalisateurs (Bertrand Tavernier, Clint Eastwood).
Cet ouvrage collectif est kaléidoscopique. Il multiplie les angles (témoignages, analyses, récits, fictions, poésies, photographies, dessins, peintures). Un livre polyphonique qui est à la fois chronologique et thématique. Écritures variées, rythmes éclatés, images et couleurs démultipliées, un portrait saisissant de Monk s'esquisse.
La « vague core´enne » est incontestablement en marche et perd progressivement son e´tiquette pe´jorative. Avec l'essor des webtoons, ces bandes dessine´es verticales conc¸ues pour les smartphones, du cine´ma - la palme d'or de parasite au festival de cannes a mis en avant la richesse du cine´ma core´en -, mais aussi des drama - du nom que l'on donne aux se´ries te´le´vise´es core´ennes popularise´es gra^ce a` netflix, la core´e du sud de´ploie un soft power extre^mement dynamique, a` l'image de son e´conomie
Pékin, 1969. Zhu Xiao-Mei est un « être de mauvaise origine », c'est-à-dire qu'elle est issue d'une famille de bourgeois cultivés. Une tare d'autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu'elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente - Shumann, Mozart, Bach. Logique, par conséquent, qu'elle soit envoyée en camp de rééducation par les autorités de la Chine communiste.
Frontière de la Mongolie, 1974. Zhu Xiao-Mei n'a plus rien d'une bourgeoise cultivée, plus rien d'une pianiste, plus rien d'une artiste. Elle est devenue une machine à obéir et à dénoncer. Son unique livre est le Petit Livre rouge, son unique rêve de manger à sa faim. Mais un jour, Xiao-Mei trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s'élèvent... Par enchantement l'espoir renaît : Xiao-Mei se jure qu'elle rejouera du piano.
Paris, 1985. Il a fallu à la jeune femme dix ans d'obstination pour pouvoir pratiquer ce qui est depuis toujours son vrai métier, pianiste. Partie de Chine dès les premiers signes d'ouverture, en 1979, elle reprend ses études musicales aux États-Unis tout en travaillant pour survivre comme baby-sitter, femme de ménage, serveuse, cuisinière... Puis elle s'exile encore, cette fois vers Paris. Et là, le miracle survient. Pour la première fois, on l'écoute, on lui donne sa chance... Sa carrière est lancée, elle ne s'arrêtera plus.
Plongez dans l'univers exaltant du jazz à travers les vies et les oeuvres de ses musiciens les plus emblématiques.
Ce livre rend hommage aux plus grands musiciens de jazz, qu'ils aient été les premiers maîtres du genre comme Louis Armstrong ou Johnny Dodds, qu'ils aient appartenus à l'école swing comme Count Basie ou Benny Goodman, au jazz moderne comme Stan Getz ou Sonny Rollins ou au free jazz comme Archie Shepp ou Roland Kirk. Les plus grandes divas telles Ella Fitzgerald, Billie Holiday ou Sarah Vaughan sont également présentées par Philippe Margotin, grand amoureux de ce style musical et de toutes ces idoles. Le Grand Atlas du jazz est un formidable voyage au coeur de l'Histoire de la jeune et dynamique Amérique sans oublier les quelques Européens qui ont su s'y imposer comme le guitariste Django Reinhardt. En un siècle d'existence, le jazz n'a cessé d'évoluer et, surtout, de conquérir les coeurs et les esprits. C'est l'histoire d'une musique devenue universelle à travers les hommes et les femmes qui l'ont incarnée.
Cette nouvelle édition, présentant des nouveaux portraits de jazzmen contemporains - dont un groupe -, est enrichie de sept sujets transversaux pour se plonger encore plus profondément dans la culture du jazz : son rôle phare à Saint-Germain-des-Prés dans les années 50, par exemple, ou bien la présentation des nouvelles figures féminines qui ont émergées.
Passant de Beyoncé à Mick Jagger, de Tony Blair à Ronald Reagan, d'Occupy Wall Street à la guerre du Vietnam, cet abécédaire explore les rapports entre les artistes et les tendances sociétales dans le paysage anglo-saxon des années soixante à nos jours. En plus de 140 entrées, l'auteur s'attache à éclairer les contextes dans lesquels sont ancrés les grands combats de cette époque, étudiant les liens qui se font et se défont entre les cultures musicales d'une part et les générations, les classes sociales et les mouvements politiques d'autre part. Il dissèque les relations entre la musique et la société avec la volonté de mettre à distance les légendes, soulignant l'engagement ou l'inconséquence de certains artistes et scrutant ceux qui, avant Obama, avaient fait de la pop une composante de leur stratégie politiqu
À l'automne 1959, deux Français passionnés de blues, Jacques Demêtre et Marcel Chauvard, s'envolent pour la première fois aux États-Unis, missionnés par le magazine Jazz Hot. Ils rencontrent Muddy Waters, John Lee Hooker, B.B. King, Champion Jack Dupree, Buddy Guy, J.B. Lenoir, Tampa Red, Elmore James et bien d'autres au cours de leur périple entre New York, Détroit et Chicago.
De Harlem au South Side de Chicago en passant par le Black Bottom de Détroit, ils arpentent les lieux où se joue et se vit le blues: boîtes de nuit, salles de concerts, appartements modestes, églises, sous-sols, studios d'enregistrement et maisons de disques, pour en rapporter un témoignage ainsi que des photographies sans précédent pour l'époque.
Voyage au pays du blues retrace cette odyssée au plus près des artistes, dans leur intimité et leur quotidien, bien avant que ceux-ci ne deviennent des figures tutélaires et indétrônables du blues.
Detroit, Motor City. Ce nom est depuis 100 ans synonyme de l'industrie automobile américaine, mais dans la musique, il signifie haute énergie, usine à hits, PFunk, techno. Il évoque John Lee Hooker et Iggy Pop, Marvin Gaye et Jeff Mills, Bob Seger et George Clinton. Il embrasse toute l'histoire de la musique américaine, des big bands Swing qui soulevaient des ballrooms parmi les plus grandes du pays aux soirées techno qui faisaient vibrer les murs des friches industrielles, en passant par les shows télévisés prestigieux de la Motown, le chaos des soirées psychés des années de braise de l'après-68 et la brutalité du hardcore des années Reagan. Detroit sampler raconte cette épopée de vinyle, de furie et d'électricité par une analyse libre et passionnante de l'évolution musicale de la ville.
Ne croyez pas ce que disent les vieux bluesmen du Delta. Le blues n'est ni une affaire d'hommes ni le fruit du diable, on le doit à une femme : Ma Rainey, la « mère du blues ». Elle a été la première à incarner cette musique, où se reflétaient la douleur et les espoirs d'être née noire, femme et pauvre dans le Sud des États-Unis, à l'orée du XXe siècle. Pionnière dans une époque de changements, son parcours et sa voix témoignent autant de l'affranchissement des artistes noirs que d'une féminité rebelle, assumant une sexualité libérée. Star du vaudeville et des premiers 78-tours dans les années 1920, elle a été le modèle de Bessie Smith, Louis Armstrong et bien d'autres. Ancêtre commun au jazz, au rock, au funk, au hip-hop et à toute leur descendance, sa contribution est historique.
Au cinéma il y a les problèmes de raccord, en littérature il y a les coquilles, en patinage artistique il y a les gamelles, en architecture il y a les portes qui donnent sur des murs... Et en chanson il y a l'erreur, l'aberration. Le chanteur Alister en a rassemblé les meilleurs exemples dans un corpus avalisé par le CNRS, où se rencontrent, pêle-mêle, têtes en l'air sympathiques, imbéciles heureux et scribouillards satisfaits.
Cet ouvrage se propose de raconter de façon inédite l'histoire du rock, ses légendes et les évènements les plus importants, en associant portraits, histoires, photos et infographie.
Au travers de 8 courants, Ernesto Assante brosse le portrait de plus de 40 artistes, tels que Bob Dylan, David Bowie, Iggy Pop, les Clash, AC/DC, U2 ou encore les Sex Pistols, Nirvana, Metallica, The Cure, Daft Punk...
Toute la chronologie de leur carrière est illustrée par des photos pleine pages, des textes introductifs et des données clés qui permettent de mieux comprendre leur parcours.
Ainsi, en compilant par exemple, le nombre de disques vendus, leur durée de vie, le temps nécessaire pour enregistrer un album ou encore les vues sur les réseaux sociaux, l'infographie permet de visualiser l'évolution de l'artiste et de donner un poids concret à la signification de son succès.
Un livre indispensable pour tous les fans désirant découvrir une histoire du rock immédiate, captivante et originale.
Quelles sont les plus grandes compilations de tous les temps ? Les 10 drilleurs à la française ? Les 50 beatmakers qui ont fait l'histoire ? Les 21 personnes clashées par MC Jean Gab'1 ? Les 20 morceaux qui font référence à La Haine ? Les 10 meilleurs freestylers ?
À travers 200 listes spécialement choisies, Driver livre un véritable condensé du rap français et une balade à travers l'un des courants musicaux les plus écoutés.
Allumez vos enceintes et laissez-vous porter !
« C'est une chose que la jeunesse puisse voir des rappeurs passer à la télé et arriver en tête des ventes. Mais c'en est une autre pour un jeune de quartier populaire d'entrer dans une bibliothèque et de feuilleter un livre lui expliquant l'importance de sa propre culture. Ce livre vous le tenez entre vos mains. » Jay-Z.
Enfin traduit, ce New York Times best-seller est un classique de la littérature hip hop. Il fait éclater tout le talent de l'intellectuel noir-américain Michael Dyson : une réflexion politique mise au service d'une culture issue des bas-fonds mais qui s'est imposée contre toute attente comme un phénomène international.
C'est dans la douceur du coton que naquit la musique la plus authentiquement mélancolique du XXe siècle. Des fronts qui suent le jour, des doigts qui saignent la nuit : tel fut le destin des pères fondateurs du blues. Voici le livre définitif sur la musique la plus influente du siècle passé. C'est avec un talent de romancier qu'il brosse le portrait des figures séminales du blues, de Robert Johnson à Muddy Waters... Il décrypte les fondements de cette musique avec la précision du musicologue. Et c'est avec l'exactitude de l'historien, qu'il en écrit les annales. Ou plutôt une Odyssée, commencée en Afrique pour s'achever sur le Delta du Mississipi. L'exode maritime et des décennies d'asservissement feront mûrir chez les esclaves cette musique écorchée et mystique : le blues.
Une véritable plongée au coeur de l'oeuvre de !'Australien le plus fascinant de sa génération: de ses racines blues et de ses pensées religieuses et philosophiques au blues-rock brut de Grinderman, de ses débuts (The Birthday Party) aux récents Ghosteen, Skeleton Tree ou Push The Sky Away, Who's Nick Cave? se veut une oeuvre biographique et complète sur la carrière prolifique d'un touche-à-tout étonnant et déroutant.
Le livre proposera un parcours dans la vie de Nick Cave en suivant la parution de chacun de ses albums (des premiers aux derniers) où nous aurons l'occasion d'évoquer des éléments de sa biographie mais aussi, et surtout, parler de sa musique, le tout accompagné d'extraits d'interviews de musiciens et producteurs proches de l'artiste (Mick Harvey, Warren Ellis, ... ). Entre ces disques seront parsemées diverses« parenthèses» consacrées à des thèmes précis (Nick Cave et le cinéma, sa relation avec PJ Harvey, ses liens avec Kylie Minogue, son enfance et son éducation, son séjour à Berlin ou à Sao Paulo, ... ).
Le but est simple: décrypter et rendre l'univers de Cave accessible au plus grand nombre ... et faire découvrir des pans ignorés de l'artiste aux fans les plus assidus !
Acteur et témoin privilégié de l'émergence du free jazz à la fin des années cinquante, le trompettiste afro-américain Don Cherry s'est construit dans l'ombre des plus grands saxophonistes de son temps: Ornette Coleman, John Coltrane et bien d'autres. Tête de proue de l'avant-garde, Cherry se sent tôt à l'étroit dans une Amérique conservatrice et va alors entamer un long voyage, au sens propre, et se construire un univers unique où se mêlent le jazz, les folklores du monde et maints autres champs. Sa vie emprunte ainsi une trajectoire singulière où se croisent notamment Lou Reed, Allen Ginsberg, Alejandro Jodorowsky ou Sun Ra. Cette biographie entend donner au lecteur les clés de ce monde en proposant une discographie contextualisée et appuyée par de nombreux témoignages d'époque.
John Coltrane est l'un des premiers noms qui nous vient à l'esprit lorsqu'on parle de jazz mais il n'est pas simple d'appréhender l'ensemble de son oeuvre. Constamment à la recherche de nouvelles sonorités et de techniques novatrices, désireux de faire évoluer son jeu, il a fait évoluer le jazz. Après avoir joué avec les plus grands (Dizzy Gillespie, Miles Davis, Thelenious Monk) auprès desquels il développe son style unique, il crée la sensation avec un album enregistré en même temps qu'il travaille avec Miles davis sur Kind Of Blue et qui sera un des monuments du be-bop : Giant Steps. Après ce coup d'éclat, il emprunte une voie qui n'appartient qu'à lui et dont l'apogée sera atteinte avec A Love Supreme, avant d'embrasser les terres nippones et d'explorer fièvreusement le free jazz.
C'est l'histoire d'un animateur qui, 30 ans durant, a accompagné l'émergence du rap en France. C'est l'histoire d'une émission, "Planète Rap", parmi les plus écoutées de la bande FM. C'est l'histoire d'une musique, passée de l'ombre à la lumière, du ghetto aux plus grandes scènes. C'est une histoire d'artistes, d'authenticité, de succès et de clashs. Mais surtout, c'est l'histoire d'un ado de banlieue, passionné de radio et de musique, qui rêvait d'en faire son métier.
Depuis ses débuts sur Skyrock en 1992, Fred Musa invite et fait défiler la crème du rap français, de Booba à NTM, de Jul à MC Solaar en passant par Sofiane ou Ninho. Dans ce livre, écrit avec le journaliste Vincent Brunner, il se raconte sans langue de bois, de son enfance à la Courneuve jusqu'à la série Validé, sur Canal+, brossant dans le même temps le tableau de la scène hexagonale.
Une plongée dans la réalité du rap game, sans fard ni clichés.
Le meilleur de la BD et du rock, en un seul volume, depuis Elvis Presley jusqu'à Amy Winehouse - l'une des quatre nouvelles histoires spécialement réalisées pour l'occasion par Elene Usdin, Fanny Michaelis, Coco et Karim Friha qui viennent rejoindre l'aventure amorcée en 2009 avec Charles Berberian, Serge Clerc, Jean-Christophe Menu, Luz, Riad Sattouf et tant d'autres... Chaque dessinateur a choisi un artiste ou un groupe à qui il consacre jusqu'à six planches. Avec un rédactionnel de présentation comportant une biographie musicale et une discographie sélective.