L'ouvrage se basera sur une série d'entretiens avec le journaliste Michka Assayas, producteur de l'émission hebdomadaire Very Good Trip sur France Inter. Dans ce livre où il évoque plus de 300 chansons, il raconte l'histoire d'une initiation. On y retrouve le ton de son émission « Very good Trip » : Souvenirs et anecdotes viennent éclairer l'aventure du rock au sens large, de Bob Dylan à Eminem, en passant par Kurt Cobain. Michka Assayas nous fait aussi partager ses archives personnelles. Mémorial sensible d'une existence passée à accumuler les trésors et les connaissances qu'il a eu la passion de transmettre ...
Avec lui, Maud Berthomier renoue avec les techniques qui lui sont chères - l'entretien - pour écrire un voyage en musique où mémoire individuelle et collective s'entremêlent.
Trop sage, Philippe Manoeuvre ? Ramolli du perfecto, le rédac-chef mythique de Rock & Folk et de Métal Hurlant ? C'est ce qu'en substance un lecteur de ses précédents Mémoires lui a glissé un jour - on a connu des acides plus faciles à avaler...
Qu'à cela ne tienne. Cette fois, Manoeuvre dit tout.
L'alcool. La drogue. La corde raide du rock n'roll.
Du premier rail au dernier verre : cuites again à Moscou la rouge, trip champi à Amsterdam avec Virginie D., des tournées, et encore des tournées, entre mille virées gonzo sous LSD... Passent Bowie, Lemmy, Iggy, Lou Reed - tous les fantômes hallucinés...
Bref, depuis 20 ans Philippe est clean, mais qu'on se rassure : punk is not dead.
Il y a 50 ans, Aretha Franklin réclamait le "respect", dans les années 1990, les Riot Grrrls émergent et aujourd'hui, des superstars comme Beyoncé commercialisent une version sexy du féminisme. Les charts regorgent de voix féminines, mais les scènes de festival, les magazines musicaux et les nightclubs restent dominés par les hommes. Pourtant, il y a des rebelles présentes à chaque coin de rue, dans chaque décennie où les femmes ont pris la guitare, le micro ou les platines de DJ.
Chacune a sa propre histoire. Il est question d'émancipation, de colère, de drogue et de rock n'roll, de sexe et de sexualité. Mais avant tout, de musique. Qu'il s'agisse de voix dans la soul, de battles dans le rap, de solos de guitare dans le rock, de grands tubes dans la pop ou dans la techno.
Toutes ne sont pas des rockeuses au sens propre du terme, mais si l'on estime que le rock définit une rupture, alors oui, toutes ces femmes sont de sacrées rockeuses.
À travers plus de 100 textes instructifs, divertissants et personnels, des journalistes, des musiciens ou des fans parlent des groupes qui les ont marqués, des artistes féminines qui ont donné une nouvelle facette au féminisme, de leurs disques préférés, des oeuvres de leur vie et des chansons qu'ils reprennent en choeur, du classique à l'outsider.
Passant de Beyoncé à Mick Jagger, de Tony Blair à Ronald Reagan, d'Occupy Wall Street à la guerre du Vietnam, cet abécédaire explore les rapports entre les artistes et les tendances sociétales dans le paysage anglo-saxon des années soixante à nos jours. En plus de 140 entrées, l'auteur s'attache à éclairer les contextes dans lesquels sont ancrés les grands combats de cette époque, étudiant les liens qui se font et se défont entre les cultures musicales d'une part et les générations, les classes sociales et les mouvements politiques d'autre part. Il dissèque les relations entre la musique et la société avec la volonté de mettre à distance les légendes, soulignant l'engagement ou l'inconséquence de certains artistes et scrutant ceux qui, avant Obama, avaient fait de la pop une composante de leur stratégie politiqu
Au cinéma il y a les problèmes de raccord, en littérature il y a les coquilles, en patinage artistique il y a les gamelles, en architecture il y a les portes qui donnent sur des murs... Et en chanson il y a l'erreur, l'aberration. Le chanteur Alister en a rassemblé les meilleurs exemples dans un corpus avalisé par le CNRS, où se rencontrent, pêle-mêle, têtes en l'air sympathiques, imbéciles heureux et scribouillards satisfaits.
Cet ouvrage se propose de raconter de façon inédite l'histoire du rock, ses légendes et les évènements les plus importants, en associant portraits, histoires, photos et infographie.
Au travers de 8 courants, Ernesto Assante brosse le portrait de plus de 40 artistes, tels que Bob Dylan, David Bowie, Iggy Pop, les Clash, AC/DC, U2 ou encore les Sex Pistols, Nirvana, Metallica, The Cure, Daft Punk...
Toute la chronologie de leur carrière est illustrée par des photos pleine pages, des textes introductifs et des données clés qui permettent de mieux comprendre leur parcours.
Ainsi, en compilant par exemple, le nombre de disques vendus, leur durée de vie, le temps nécessaire pour enregistrer un album ou encore les vues sur les réseaux sociaux, l'infographie permet de visualiser l'évolution de l'artiste et de donner un poids concret à la signification de son succès.
Un livre indispensable pour tous les fans désirant découvrir une histoire du rock immédiate, captivante et originale.
Une véritable plongée au coeur de l'oeuvre de !'Australien le plus fascinant de sa génération: de ses racines blues et de ses pensées religieuses et philosophiques au blues-rock brut de Grinderman, de ses débuts (The Birthday Party) aux récents Ghosteen, Skeleton Tree ou Push The Sky Away, Who's Nick Cave? se veut une oeuvre biographique et complète sur la carrière prolifique d'un touche-à-tout étonnant et déroutant.
Le livre proposera un parcours dans la vie de Nick Cave en suivant la parution de chacun de ses albums (des premiers aux derniers) où nous aurons l'occasion d'évoquer des éléments de sa biographie mais aussi, et surtout, parler de sa musique, le tout accompagné d'extraits d'interviews de musiciens et producteurs proches de l'artiste (Mick Harvey, Warren Ellis, ... ). Entre ces disques seront parsemées diverses« parenthèses» consacrées à des thèmes précis (Nick Cave et le cinéma, sa relation avec PJ Harvey, ses liens avec Kylie Minogue, son enfance et son éducation, son séjour à Berlin ou à Sao Paulo, ... ).
Le but est simple: décrypter et rendre l'univers de Cave accessible au plus grand nombre ... et faire découvrir des pans ignorés de l'artiste aux fans les plus assidus !
Le meilleur de la BD et du rock, en un seul volume, depuis Elvis Presley jusqu'à Amy Winehouse - l'une des quatre nouvelles histoires spécialement réalisées pour l'occasion par Elene Usdin, Fanny Michaelis, Coco et Karim Friha qui viennent rejoindre l'aventure amorcée en 2009 avec Charles Berberian, Serge Clerc, Jean-Christophe Menu, Luz, Riad Sattouf et tant d'autres... Chaque dessinateur a choisi un artiste ou un groupe à qui il consacre jusqu'à six planches. Avec un rédactionnel de présentation comportant une biographie musicale et une discographie sélective.
Janvier 1969. Lorsque les Beatles se réunissent pour enregistrer leur nouvel album, Get Back, ils sont dans une période de transition et de doute : George Harrison rentre de New York où il a travaillé main dans la main avec Bob Dylan, Paul McCartney est dans son histoire d'amour naissante avec Linda Eastman, John Lennon est inséparable de Yoko Ono, sa partenaire à la ville comme à la scène. L'enregistrement de « L'Album blanc », en 1968, a divisé le groupe, et la disparition de leur mentor à tous, « M. Epstein », a laissé un grand vide. Pourtant, c'est dans cette atmosphère étrange, tandis qu'ils repartent à la source de leur art, que les Beatles vont composer quelques-unes des leurs plus belles chansons, cultes dès leur sortie. Pendant un mois, Michael Lindsay-Hogg enregistre les sessions studio des Beatles, de Twickenham à Savile Row, en vue d'une émission spéciale en mondovision et d'un live, qui sera le mythique concert sur le toit, au sommet de l'immeuble d'Apple Corps. Le montage qui a été fait de ses prises de vues dans le documentaire Let it be, sorti après la scission du groupe en avril 1970, mettait volontairement l'accent sur l'aspect dépressif, chaotique, du processus créatif. Or, c'est justement ce que ce livre et le documentaire qui l'accompagne vient nuancer, sinon de contredire, comme l'écrit Peter Jackson dans sa préface : « La véritable essence des séances de Get Back est contenue dans ces pages : il suffit de compter le nombre de fois où la mention «rires» est indiquée entre parenthèses. » Hanif Kureishi, renchérit : « Le résultat de toutes ces blagues, de ce travail incessant et de ces disputes, c'est un final fabuleux. La séance live sur le toit de l'immeuble qui se déroule à la fin du mois de janvier 1969, et en février de la même année, les Beatles qui se mettent allègrement à travailler à ce chef-d'oeuvre qui se révélera être Abbey Road. » Grâce à ces archives enfin restaurées et révélées au grand public, tous les fans des Fab Four ont le privilège d'entrer en studio pour assister aux premiers brouillons, aux erreurs, à la dérive de chacun et aux digressions de tous, à l'ennui, à l'excitation, au brouillage joyeux et aux percées soudaines... D'assister au crépuscule superbe de leurs idoles.
UN RESUME DE L'AMERIQUE ?
UN PRODUIT TYPIQUE D'UNE CULTURE ET D'UNE EPOQUE ? ET SI, AU CONTRAIRE, ELVIS ETAIT SEULEMENT ELVIS, C'EST-A-DIRE UNE EXCEPTION, UNE FOLIE ?
Son génie ne se limite pas à être la première icône du rock'n'roll: il devient rapidement un chanteur immensément populaire auprès du très grand public américain en synthétisant la country music, le gospel, la variété romantique, la pop... Héros de dizaines de films stéréotypés à Hollywood, idole ne chantant qu'à guichets fermés, que ce soit à Las Vegas ou dans les stades et arénas de tous les Etats-Unis, personnage romanesque dont les amours et les plaisirs fascinent public et médias, Elvis sidère son pays comme le monde entier.
Ce pentecôtiste du Tennessee, modelé et obsédé par sa religion à la fois rigoriste et exubérante, affronte en permanence la « bonne » Amérique qui regarde de haut l'accent et l'identité culturelle de ce petit Blanc sudiste, sur qui s'abattent la gloire et la fortune. Car il reste en permanence une énigme: pourquoi accepte-t-il de devenir un GI « normal » pendant son service militaire, pourquoi reste-t-il lié jusqu'à la mort à son manager le (faux) Colonel Parker, pourquoi ne chante-t-il jamais à l'estranger, que va-t-il faire à la Maison-Blanche en rencontrant le Président Richard Nixon, pourquoi revenir à la scène après une longue absence et pourquoi ces années de tournées frénétiques ?
De l'insolente séduction du jeune Elvis jusqu'à ses addictions fatales, Bertrand Dicale ausculte cette folie aux dimensions uniques, qui interroge tour à tour le texte de la Bible, l'essence du rock'n'roll, la question raciale dans le Sud, le cynisme de l'industrie pharmaceutique ou l'économie du cinéma... Une aventure qui, si longtemps après la mort du King, reste mystérieuse.
À ceux qui croient tout connaître du rock, et aux autres, ce livre propose un voyage sans équivalent à la découverte des disques rock les plus fascinants et les plus inspirants des 70 dernières années. Incluant à la fois des grands succès mythiques et des disques moins connus, ce livre explore toutes les nuances du rock.
Les entrées d'album sont accompagnées d'illustrations rares en couleurs, ainsi que de descriptions détaillées et d'analyses.
D'Elvis aux artistes contemporains, découvrez tous les albums qui ont façonné le monde du rock tel que nous le connaissons, et sans lesquels la vie serait une erreur.
Cela fait 60 ans que les Beatles existent dans la composition que tout le monde connaît : Ringo Starr rejoint les Beatles en 1962 pour former le quatuor rock le plus extraordinaire de toute l'histoire de la musique.
Le groupe a duré 8 ans. Les ventes ont atteint le milliard d'albums vendus en 60 ans (à situer entre Elvis Presley et Michael Jackson).
L'intérêt pour le groupe n'a jamais cessé, avec la diffusion l'année dernière du documentaire Get Back, réalisé par Peter Jackson (Le Seigneur des anneaux) sur Disney+.
Le livre Iconic Beatles raconte l'histoire du groupe, année après année, avec une myriade d'illustrations, pour certaines très rares.
En partenariat avec le Hellfest Corner & Metalliquoi! + préface de Metalliquoi! (110k abonnés sur Youtube - Première chaîne sur le métal en France).
Il y a un peu plus de cinquante ans naissait le hard rock, rejeton mal élevé d'une scène rock et pop en pleine mutation. Dix ans plus tard, il muait - Une première fois et devenait heavy metal et, encore dix ans plus tard, métal tout court..
Aujourd'hui, il est plus vivace que jamais, comme la multitude de groupes qui se produit aÌ Clisson, chaque année, aÌ l'occasion du Hellfest, le prouve de manière éclatante. Le nombre et la diversitéì des styles proposés sont un reflet d'une musique qu'on a souvent enterrée, en vain. L'objectif de The Devil's Legacy n'est pas d'en faire un panorama exhaustif - il faudrait pour cela une encyclopédie -, mais plutôt d'en isoler les grandes tendances et de remonter aÌ ses origines. Grosso modo, qu'est- ce qui peut relier un Led Zeppelin aÌ Sabaton et en quoi Hatebreed est-il l'héritier de Black Sabbath ? Pour plus de clarté, l'ouvrage est diviseì en décennies (1970, 1980 et 1990), avec une conclusion consacrée au XXIe siècle et aux perspectives qui s'ouvrent encore aujourd'hui. De même, l'introduction remonte jusqu'aux années 1940 pour déterminer quels sont les piliers de ce monument musical. Il s'agit donc bien d'établir une généalogie du métal et, pour cela, quoi de mieux que d'utiliser des arbres ? On y trouvera également de nombreuses chroniques, des playlists, le pilier de ce temple érigé aÌ la gloire des décibels et de la liberté.
Johnny a toujours été un fan de moto. Une passion qui ne l'a jamais quittée tout au long de sa vie. Comme un môme devant un étal de bonbons, il a souvent craqué en se retrouvant face à la vitrine d'un magasin de moto : « Celle-là, il me la faut ! ».
Il a ainsi acheté un nombre impressionnant de ces engins !
Toutes ses motos ont été dispersées au gré des humeurs du chanteur : données, oubliées, détruites... Johnny n'était pas collectionneur...
S'il existait encore, cet ensemble formerait une collection unique retraçant l'histoire de la moto. Johnny n'était pas sectaire non plus, il aimait toutes les motos, de Norton à Indian en passant par Ducati et les japonaises. Et bien sûr Harley, marque américaine pour laquelle il avait une tendresse particulière.
Jean Basselin a été l'intendant de Johnny pendant plus de 10 ans, mais au-delà de ça, il a été son complice motard. Il était chargé de lui trouver, de lui préparer et de lui entretenir ses motos. Il était donc évident pour lui de faire un catalogue de ce musée imaginaire. Il va nous faire parcourir les allées de cette exposition virtuelle.
Jean Basselin a été le secrétaire particulier de Johnny dans les années 80 à 2000, et était son principal fournisseur de motos. Il a écrit "Mes motos et voitures d'exception" (Editions Hugo) avec Johnny Hallyday qui s'est vendu à plus de 23.000 ex (Gfk)
Les début d'Iggy Pop sont à ranger du côté de la furie sonique du son de Detroit. Avec les MC5, les Stooges d'Iggy Pop ont posé les bases de la musique punk. Christian Eudeline s'attache à raconter, d'album en album, la vie à 100.000 % de James Ostenberg, et met ainsi en perspective l'héritage rock indéniable d'un des artistes américains les plus influents. De David Bowie, aux Ramones, New York Dolls, Sonic Youth, etc. Iggy Pop a marqué à jamais l'histoire du rock. Encore aujourd'hui (il vient de finir une tournée européenne avec plus de 10 dates en France), son influence continue à marquer toute une nouvelle génération de musiciens.
Barbara occupe une place à part dans la chanson. Avec Ma plus belle histoire d'amour, créée pour le public à Bobino en 1966, elle a noué avec chacun d'entre nous une relation unique dans l'histoire de la variété, qui ne s'est pas éteinte avec sa disparition en 1997.
L'Aigle noir, Dis quand reviendras-tu ?, Nantes... ses textes, ses mélodies, sa voix nous bouleversent toujours, sa personnalité, son parcours nous fascinent. Barbara a fait de sa vie blessée une oeuvre d'une singulière beauté, que ce livre explore et invite à redécouvrir :
Répertoire, spectacles, chemins de vie et de scène, relation au public y sont étudiés avec précision pour éclairer le processus de création de la chanteuse et mieux nous faire partager son univers artistique. Un univers original et intense, profondément généreux.
Au Coeur des années 50, au sortir de deux guerres mondiales, la jeunesse soudain se retrouve et s'émancipe.
Les teenagers surgissent avec leur langage, leurs codes, leurs rites, et surtout leur musique.
Celle-ci s'appelle ROCK'n'ROLL. Elle explose aux confluents du blues, du swing et de la country.
Les adultes la détestent et les amateurs de « bonne » musique -classique comme jazz- la méprisent. C'est une musique qui ne prend pas la tête mais parle au corps. Une musique simple et euphorisante : rythme binaire, trois accords, une batterie, une contrebasse, une guitare, une voix...
Des voix, il y en eut des célèbres -Elvis, Chuck Berry, Gene Vincent, Little Richard, Buddy Holly- et d'autres moins connues même si tout aussi remarquables : Johnny Carroll, Charlie Gracie, Charlie Rich ou Billy Lee Riley. Des voix de femmes également : Wanda Jackson, Brenda Lee, mais encore Janis Martin ou Barbara Pittman...
Nous en avons sélectionné 150 : hommes et femmes, mais encore groupes, instrumentaux comme vocaux : 150 façon de jouer et de chanter ces années de boom économique, de liberté et d'insouciance, d'une jeunesse qui pour la première fois de l'Histoire pouvait affirmer sa « fureur de vivre ».
Cela fait plus de quarante ans que Depeche Mode a investit les radios et le coeur des (éternels) adolescents.
Le groupe prépare sont quinzième album pour le printemps 2023, 6 ans après son dernier album, Spirit (numéro 1 des ventes en 2017 en France, Suisse et Belgique).
Comment ce petit groupe de Basildon, petite ville nouvelle de banlieue lointaine de Londres, gentil « garçons coiffeurs », avec leurs ritournelles electro-pop est devenu un groupe culte mondial ?
Marc Dufaud explore les tréfonds d'un des groupes les plus importants du rock des dernières décennies. Entre exploration musicale, allant de le musique industrielle, du blues, exploration des attitudes rocks les plus extrêmes (look, drogue, décadence), Depeche Mode reste un des groupes les plus attachants qu'il soit, avec un des publics les plus fidèle.
Que connaissez-vous de la K-Pop ? BTS ? Mais encore ? Le premier volume de L'Énigme K-Pop vous emmène loin dans les coulisses de la pop sud-coréenne. Vous la découvrirez ici sous toutes ses facettes y compris les plus sombres. Histoire, économie, questions de société... Voyagez dans les méandres de la K-Pop et ses secrets pour conquérir l'Occident.
Pour comprendre l'histoire de la pop coréenne, il faut assimiler le Rock coréen. Car dans le très large spectre musical du pays, le Rock est un élément charnière, une pièce indispensable qui a, en grande partie, propulsé la culture sud-coréenne dans la modernité. Pour ainsi dire, le Rock coréen s'est construit avec un grand sens de l'expérimentation et a fortement contribué à l'essor de la K-pop. Sans lui, Jay de Day6 ne viendrait pas gratouiller sa guitare les yeux plongés dans les vôtres dans la moiteur sexy d'une salle de concert parisienne, ni BTS abuser des feux d'artifice au Stade de France. C'est aussi simple que ça. Nos idoles K-pop se démènent pour leur art tout comme leurs ancêtres Rock l'ont fait. Dans un pays où faire évoluer les mentalités relève de l'épreuve de force, voici comment des artistes acharnés ont transcendé l'esprit Rock et embrassé le monde de la pop pour conquérir la planète. Voici en somme l'histoire du Rock coréen.
Roger Daltrey, Keith Moon et Pete Townshend (pour ne citer qu'eux) sont décidemment de véritables précurseurs d'un rock britannique proche du pub rock, voire de la brit pop. Près de 60 ans de moulinets sur la guitare, la musique des Who a transcendé les générations, avec un véritable regain lors des diffusions des différentes séries des Experts. Les Who sortent également du cadre stricto-sensu du rock'n'roll, et incarnent le mouvement "Mod" britannique, qui connaît encore aujourd'hui, un véritable engouement de la jeunesse rock.